Les différents moyens de transports au Mexique

La voiture

Voyager en voiture à son propre rythme est le moyen de plus pratique et le plus souple pour découvrir le Mexique, à l’exception de la capitale. Le permis de conduire français est reconnu ; en revanche, il est impératif de contracter une assurance mexicaine.

  • Connaître les distances entre les villes mexicaines sur trace-sc.com
  • Une voiture de location de petite catégorie revient à 65 € / jour en km illimité et un plein d’essence entre 150 et 200 pesos.
  • Attention aux topes (dos d’ânes) : il y en a un peu partout et en particulier aux entrées-sorties de villages ; si vous n’y prenez pas garde vous risquez d’y laisser vos amortisseurs (voire pire) !!! Les « cuotas » (routes payantes ; même prix qu’en France) sont en très bon état, les « libres » (routes gratuites) sont parfois en très mauvais état.

Avion

Aviacsa et AeroMexico assurent l’essentiel des vols intérieurs entre les 60 aéroports du pays. Les tarifs de base sont deux fois plus élevés que ceux d’un trajet en autocar.

Autocar/Bus

C’est le transport public le meilleur et le plus économique pour circuler à travers le Mexique.

 

Train

Principalement utilisé pour le transport du fret, le réseau est obsolète et désorganisé (non-respect des horaires, confort spartiate excepté en première classe).

A Mexico, le plus simple pour se déplacer est de combiner métro et pesero (microbus) :

  • Les peseros sont de petits bus vert et blanc qui dévalent les grandes artères ; on en trouve des dizaines aux stations de métro ; pas d’arrêt fixe : pour descendre, appuyer sur la sonnette au dessus de la porte arrière. Une pancarte sur le pare-brise indique les points de départ et d’arrivée et les principaux points de passage (exemple : Reforma-Auditorio pour aller au Musée d’Anthropologie, Hidalgo-Coyoacan pour aller à Coyoacan) ; il vous en coûtera 2,5 pesos pour un trajet de moins de 5 kms, 3 pesos de 5 à 12 kms et 4 pesos au delà.
  • Le métro : un réseau de 160 kms, une dizaine de lignes repérables à leur couleur ; sur les plans dans les trains, les stations sont représentées sous forme de pictogrammes. Certaines voitures sont réservées prioritairement aux femmes et aux enfants. Certaines stations valent le détour : maquettes du centre-ville à la station Zocalo, petite pyramide aztèque à Pino Suarez, reproduction de pièces archéologiques à Bellas Artes, expos d’art contemporain à Copilzo, …

Exemple de trajet métro/pesero : pour aller du centre-ville à Coyoacan, prendre la ligne 2 jusqu’à General Anaya puis un pesero jusqu’à Coyoacan.

Exemple de trajet métro : pour aller du centre-ville à Xochimilco, prendre la ligne 2 jusqu’à son terminus (Taxquerra) puis le Tren Ligero.

Outre métro et pesero, il y a bien sûr les taxis (petites coccinelles vert et blanc), les radios-taxis (sitios) plus chers mais plus fiables et les berlines tourismo à compteur masqué près des hôtels.